Cri sous la pluie
bouaaaaarrrrrghhh !
voilà, petit désapointement matinal et ambiance fatiguée. Le trajet pour arriver au boulot est de plus en plus court, j'ai à peine le temps de commencer mon magazine ! Et j'en ai mille milliers en retard. Parce que j'ai choppé la maladie familiale, l'abonnite aigüe. Je ne reçois que 2 mags (Annabelle, toutes les 2 sem. et Facts, toutes les semaines, en allemand) mais j'en achète un troisième pour dépenser mes sous (c'est Biba, alors vous pensez comme c'est édifiant...). Et puis j'adore acheter des livres aussi. Le premier tiroir de ma table de nuit est rempli et c'est celui dévoué au stockage des "à lire". Voui, je veux retourner au collège. Maintenant, là. Parce qu'on écrivait des rédactions et que j'arrivais à avaler 80 livres par an... Juste pour fixer le tableau: je suis en train de réactualiser la liste des prix des produits chimiques de l'entreprise, je vais ensuite attaquer les emballages et puis il faudra vérifier et tout rentrer dans les listes et bases de données. Je me sens hyper utile.
J'ai acheté des chips orientales, j'ai l'impression d'être au restau indien (c'est cher, mais c'est bien imité), il pleuvine, j'écoute un remix des Rat Pack et je vais enchaîner sur le dernier Beck. Demain, le nouveau Boogaerts va tomber dans ma boîte aux lettres (les CD et les billets de train pour la France sont mes dépenses habituelles sur internet, je craque pas encore trop).
Dans ma série "je suis maso", j'ai rempilé pour un cours de monitorat dimanche matin... Et j'ai le droit de fighter plein de virus sur mon ordi dénué de protection tous les soirs, un enchantement de chaque instant !
MOTIVEE !