Une bonne chose de faite
Mercredi prochain, je vais donc à Paris pour ce salon des com-posites, une journée marathon de 4:30 à 22:30,
voiture-avion-taxi ou RER-métro-marche aller et retour
+ parlotage
+ adieux émouvants aux fournisseurs (oui, j'en rajoute)
+ négociations
+ démonstrations
+ repas sur le pouce
+ potiche sur le stand
+ utilisation intensive des trois langues que j'ai à ma disposition
= Bibi totalement vannée...
Sur ce coup-là, j'ai de nouveau fait office de tampons entre les frangins patrons et leurs sales caractères, comme trop souvent. Mais quelque part, ces luttes rendent le quotidien humain passionnant !
Gros plein de soupe se réjouit de voir les commandes affluer, ses projets se réaliser et il m'a demandé si je n'allais pas regretter tout ça, d'avoir acheté les matières pour que tout se concrétise après mon départ, etc. Bien sûr, c'est frustrant quelque part, mais je crois qu'ils vont suffisamment ramer et me maudire... En ce qui me concerne, je suis trop curieuse et ai vraiment envie d'aller voir ailleurs, malgré l'ambiance, malgré le redécollage des ventes, des développements, etc.